Citation du jour

"Faites confiance à votre instinct. Il vaut mieux que les erreurs soient les vôtres, plutôt que celles de quelqu'un d'autre." Billy Wilder .

vendredi 30 juillet 2010

C'est moi le p"tit nouveau


Je suis tombé du ciel la semaine dernière.
Où ai-je atterri ?
J'ai peur, j'ai faim. Mamanananan !

C'est quoi tout ce qui bouge autour de moi.
Des poils comme moi, quatre pattes comme moi.
Tiens, ceux-là, ils me ressemblent.
Mais les autres, là, ils sont géants et je ne comprends pas ce qu'ils disent. Ouaf-ouaf ? ça veut dire quoi ?

Oh, et ça ? C'est haut ! Pas de poil ? Deux pattes ?
Au secours, ça vient sur moi. Je m'envole. Ah non. Je suis en hauteur c'est tout, j'ai un peu le vertige. Mais ce sont des caresses ?

Une semaine que je suis là. Finalement, je suis bien. Tout le monde est gentil avec moi, ceux qui me ressemblent et les autres.



Lui c'est Filou. Un peu foufou. Il veut toujours jouer. J'suis pas trop rassuré. Il court et saute partout et ... sur moi. Mais moi je pèse une plume.
Tu verras quand j'aurai pris des forces, j'aurai ma revanche.





Elle, c'est Maya.
De suite, elle m'a dit "T'es pas chez toi, casse-toi".
Pas très sympa la minette.
Je me suis fais tout petit, facile vu ma taille, et maintenant elle est sympa. Elle mange dans mon assiette mais bon, je reste courtois. Après tout c'est une jolie demoiselle.


Quant aux autres, les "deux pattes", ils me gâtent. J'ai plein de câlins et en plus c'est bon le repas. J'aime pas trop ces petits trucs durs. C'est tout petit mais j'ai mal à mes dents. Alors ils me donnent autre chose, c'est mou et ça sent bon. Je me régale.

Ah au fait, il parait que je m'appelle Ficelle. Bizarre comme nom.

jeudi 29 juillet 2010

A demain ?

Mardi, elle nous dit :
Je vous propose d'arrêter jeudi soir.
Ce matin :
Vous avez émis le souhait d'arrêter ce soir. Mais moi je fais cours. Tant pis pour celles qui ne seront pas là !
Ah bon ? C'est nous qui avons demandé ?
Décidément, je comprends toujours le contraire de ce qu'elle dit.
J'aurais dû faire une formation "langue française".

Puis :
Il parait aussi que vous faites un goûter cet après midi ??
Et oui, puisqu'elle nous avait proposé si gentiment d'arrêter aujourd'hui, l'une d'entre nous a eu l'idée de finir la journée avec quelques gâteries sucrées. Faut bien se faire plaisir !
Oui mais moi je ne peux pas. J'ai des rendez-vous. A moins que vous le fassiez plus tôt.
Heu, t'avons nous invitée ? ai-je pensé si fort que j'ai craint un instant qu'elle ne m'est entendue.
Qui m'a téléphoné pour me dire ? Hein ?
Ben, nous n'avions point l'intention de te convier à notre petite sauterie, ai-je encore pensé ...
(Avec ce genre de personnage, j'ai vite compris qu'il valait mieux penser et ne pas dire. Discuter avec des énergumènes qui ont toujours raison, c'est épuisant).
Toujours est-il qu'il nous a fallu faire ce petit goûter à 14H30mn (c'est plutôt l'heure du pousse-café, non ?).

Et elle est partie nous laissant avec son garde-chiourme (et oui parce qu'en plus elle n'est même avec nous).
A demain
Et j'ai répondu
A demain ... sans moi.
Mais comme par dessus le marché elle est sourde,
elle ne m'a point entendue. Dommage.

mercredi 28 juillet 2010

Non mais dis donc !




Vacances ! Vacaciones ! Holidays !
Vite ! Je n'en puis plus ! Grosse fatigue !


En fait, la colère me gagne, la moutarde me monte au nez, mon sang bout.
C'est la première formation qu'elles font ces dames, mais il se pourrait bien que ce soit la dernière.

Je vous conduis à l'excellence, Mesdames !
Tu parles !
Foutage de gueule, je dirais moi !
Si je rentre dans les détails, je vais encore sortir de mes gonds.
Reste calme, ne titille pas tes nerfs, ce n'est pas bon pour ta santé.

Bref, comme aurait dit Pépin, je vais plutôt m'épancher sur un petit rapport. Car il n'est pas question que d'autres sessions soient financées dans les mêmes conditions.
NON, MAIS !

"Business is business" comme elles aiment à dire (pour info, en moyenne 15.000 Euros par personne ... quand même !).
Business fleurissant ? Oui. Des gerbes de fleurs même ... qu'elles pourront poser sur la tombe de leur boite de formation. Moi j'vous l'dis !
Sachant que je ne suis pas la seule à envisager quelques représailles, je pense qu'elles ne sont pas prêtes de la faire agréer leur boutique !


Deux mois 1/2 et je n'ai rien appris que je ne savais déjà.
Voilà pourquoi ma colère.
Foutage de gueule, je répète.

OUF ! Petite pause pour deux semaines.

mardi 27 juillet 2010

27 juillet ...

Attention, évitez de passer vos vacances en Finlande surtout fin juillet !
Si le 27 juillet vous y êtes et que vous soyez dans le village de Naadendal ...
une tradition locale veut que ce jour-là on se lève tôt pour prier,
et que ceux qui, à 7h, sont encore au lit, soient jetés à l'eau dans le port.

Personne n'échappe à cette tradition. Tout le monde parcourt le village à la recherche de dormeurs pour les jeter à l'eau.

Le mari de la présidente de Finlande, Tarja Halonen, a même été surpris dans son lit. Pentti Arajaervi a, ce jour-là, obtenu le titre officiel 2002 de "dormeur de 7h du matin" et a été porté et jeté dans l'eau du port
.

Donde estas mi hermana ?
En tu casa espero !
Si un jour, tu vas faire une petite balade dans ce charmant village, évite le jour de ton anniversaire.
Ou bien, fais sonner ton réveil ... si tu ne veux pas te faire offrir un petit bain ... surtout dans l'eau du port ...

samedi 24 juillet 2010

PHEEEEW


Si je dis SCHLRP, MRAOUWR, DRRI, MEUH, GRRAOUR ou encore SCHPLF, BURPS, ARRRGH, les p'tits malins me diront :
Onomatopées. !
Et ils auront raison.
Mais si je dis PPSPS ?
Onomatopée ?
Et non !
Bien sûr, y'aura bien un petit futé qui viendra dire :
Oh celle-là elle joue les intellos avec son PPSPS. Je sais ce que c'est, moi !
Oui et bien fait le malin, et va le faire, tête d'âne !

Pour ceux qui ne connaissent pas (car on ne peut pas tout savoir), PPSPS veut dire Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé.
Intéressant, n'est-il pas ?
Intéressant ... surtout pour le Coordonnateur SPS (Sécurité et Protection de la Santé ) dans le cadre d'un marché public.
Un peu moins pour ceux qui doivent l'établir, moi j'vous l'dis !

En formation en ce moment, nous travaillons sur ce document.
En fait, ce qui m'ennuie c'est que je connais pour en avoir fait un certain nombre au cours de mon dernier job.
On nous donne 7 jours pour le rédiger toute seule comme des grandes.
Si tu sais faire, en deux temps trois mouvements - ou en deux coups de cuillère à pot - c'est réalisé.
Mais si tu ne connais pas et si on ne te donne pas les billes pour le faire, tu galères.
Et c'est le cas pour neuf "formatés" sur onze !
J'imagine déjà comment s'annoncent les jours qui viennent.
Mon amie et moi allons trouver la semaine bien longue ...

jeudi 22 juillet 2010

Et un de plus

Je sors de la maison et là devant la porte, sursaut.
Panique. Perdrais-je la boule ? Mes méninges tourbillonnent dans tous les sens.

On a bien deux chatons ?
Oui, pourquoi ?
Quelles couleurs ?
Un blanc et un tigré gris !?
J'en ai un sous les yeux. Il est roux.
Mais c'est Darwin.
Oh, toi, il te faut arrêter de sniffer le tube de mayonnaise !
Celui-là a le ventre blanc et il ne doit pas avoir plus de deux mois.
Bé, d'où il sort ?
Je te le demande ?
Mystère et pet de nonne ...
...
De retour à la maison, Manfred interroge : tu n'as pas trouvé un petit chat ?
Pourquoi tu demandes ?
En partant, un chaton attendait devant le portail, je l'ai fait rentrer.
Ouf ! moi qui ai cru un instant perdre le ciboulot !
Mais une question subsiste : chaton égaré, chaton abandonné ????

Gaie, la grenouille



Il pleut, il mouille
C'est la fête à la grenouille.



1ère question :
Pourquoi, chaque fois que je lave ma voiture, il pleut les jours suivants ?
2ème question :
Que vais-je bien pouvoir me mettre sur le dos et surtout aux pieds ?
Un quart d'heure de marche sous la pluie suffit pour se retrouver les pieds dans l'eau.
Et moi qui n'est pas encore choisi les bottes ! (cf article précédent).
Bon et bien, pas le choix, chaussures fermées !

mercredi 21 juillet 2010

Le cri de l'âne



Parfois, je voudrais être un âne.

Non pas un de ces ânes qui caracole dans les près.

Mais un de ceux qui ruent entre leurs brancards et braient comme un régiment d’écossais soufflant dans leur cornemuse.

Pourquoi ? Parce que ça défoule, pardi !


Ah, les hommes !

Et oui, Messieurs, c’est de vous dont il s’agit.

Pas vous les machos-lâches-jaloux-je sais tout-prétentieux-égoïstes -se la pète …

(quand je pense que certains sont tout ça à la fois).


Mes vous les grognons-capricieux.

Le quotidien avec vous ? C’est :

Il va pas la fermer, ce clébard ?

Tu vas la pousser ta charrette !

Et l’autre là, c’est en option le clignotant sur Citroën ?

Putain de poteau… (Poteau immobile qui pourtant s’est jeté sur lui. Hé !)

Arrêtez de jouer les sales gosses !
Gardez votre rogne pour les bonnes causes !


Et Manfred, me demanderez-vous ?

Manfred, j’en ai marre de t’entendre rouscailler pour tout et pour rien !

Ce type qui n’avance pas ? Je te signale quand même qu’il est à 90 et c’est limité à 90 !

Mais je rigole.

Manfred rigole. Il se bidonne. Pourtant, deux secondes plus tôt, il ne rigolait pas, il bramait.

Et oui, il est comme ça. Adorable, charmant et … agaçant à la fois.

Agaçant parce qu’il ne peut pas s’empêcher de rouméguer sur tout et n’importe quoi, sur tout ce qui est et ne peut être autrement. Le soleil qui chauffe, la pluie qui mouille, le chat qui miaule, le téléphone qui sonne …

Et deux secondes plus tard, il se marre !

Il est comme ça Manfred.


Oh non Mesdames, je vous vois venir.

Oh, la, la. De quoi elle se plaint. On échange si elle veut !

Non, non. Pas d’ça, Lisette. Je le garde, même bougon, le mien est toujours à mes petits soins, et si je ne le boostais pas il s’oublierait lui-même.

Oui je le garde mon gros nounours grincheux.

S’il pouvait être seulement un petit peu moins bougon, il serait presque parfait …

mardi 20 juillet 2010

Vite, un stage

Si pour beaucoup, ce sont les vacances, pour moi c'est toujours la formation.
Mais, bon, je ne vais pas encore me plaindre. Pour d'autres c'est le boulot, et d'autres encore le désoeuvrement.
Je dois conclure cette formation par un stage en entreprise en octobre, "une mise en situation" comme elles disent (elles ? les formatrices).
Et c'est galère !
Sachant que le stage débute fin septembre
Sachant que ce stage doit être une ouverture sur un job ... !!!
Sachant que prendre un stagiaire, c'est une corvée, un poids lourd à trainer.
Sachant que pour la plupart, c'est fermeture pour congés en août, et que pour cette raison on nous demande de trouver notre généreux patron d'ici fin juillet,
je répète, c'est galère !

C'est bien beau tout ça. Moi, je vise des petites entreprises et bien souvent Monsieur travaille et Madame est au bureau, même avec dix ou quinze ouvriers.
Il faudrait écarter les murs pour un second bureau. Quoique quand on est dans le bâtiment ce ne doit pas être difficile ...
En plus, c'est la crise, et même s'ils le voulaient, comment payer une assistante avec cet avenir incertain ?

Faites jouer votre réseau !
Cette expression, combien de fois je l'ai entendue depuis mon licenciement ...
Allez, je ne vais pas les contrarier, je vais m'en servir de ce réseau.
Premier contact.
Te prendre en stage au bureau, pour moi c'est impossible. Mais sur chantier, pas de problème.
Sur chantier ?
Le lendemain :
Et votre rendez-vous hier soir ? En fait, non. Il me propose d'aller sur chantier.
Mais foncez, voyons ! Au bureau, vous maitrisez. La mise en situation, pour vous, ce n'est pas utile. Imaginez sur votre CV, c'est un plus.
Et elle continue, etc..., etc. ...
Tiens, elle est pour. Surprenante. A l'écouter, si je suis si ..., si expérimentée, si compétente, je me demande ce que je fais dans sa formation.

Puisqu'il en est ainsi, il n'en sera pas autrement.
Je vais donc enfiler les bottes, le casque et parcourir les chantiers.
Je dis bien parcourir. Qu'avez-vous cru ? Que j'allais jouer les manoeuvres, la brouette dans les mains ? C'est plus de mon âge.
Non, non. J'irai pour comprendre les techniques, voir le déroulement des travaux, lire les plans ...
Et je vais rester optimiste en me disant que ce sera positif sur mon CV.
Positif, très certainement. Mais la crise est là, et s'incruste.
On est dans un tunnel, et pour le moment je ne vois aucune lueur.
Mais, sait-on jamais. Le hasard fait bien les choses parfois. Une rencontre, un mot ...

En attendant, Octobre étant souvent humide, il me faut trouver les bottes.

Mais que choisir ?



C'est kitch, vous trouvez ? Bon, je vais chercher plus sobre.

dimanche 18 juillet 2010

Voyage sans retour


Tu le savais, ton dernier bateau t'attendait,

pour un voyage dont tu ne reviendrais pas.

L'heure est arrivée
et le "Maudit crabe" t'a appelé et largué ses amarres.
Adieu Bernard

vendredi 16 juillet 2010

Le Placide


Je ne sais plus ce que je recherchais sur le net quand j'ai découvert Placide, de son vrai nom Eric Pierre Laplace.
Placide est dessinateur.
Pour en savoir plus sur lui, il suffit d'aller sur le site de www.gueules-d-humour.com.
Mais Placide a également son propre site www.leplacide.com.
Je vous conseille d'aller y faire un petit tour, si vous ne connaissez pas déjà.



Pour vous donner un petit aperçu de son talent, voici le dessin paru aujourd'hui sur son site.

mercredi 14 juillet 2010

Un après-midi tout mouillé

Cet été là, nous étions partis chez des amis qui vivaient dans le Puy de Dôme. J'étais haute comme trois cerises, à peine.
Je ne me souviens ni du voyage, ni de nos hôtes, ni de ... En fait, absolument aucun souvenir.
Sauf ... sauf d'une journée pique-nique.
Une bande de mouflets qui devaient avoir 4 ou 5 ans de plus que moi.
Des adultes qui avaient installé tout le petit monde dans un endroit frais et ombragé au bord de l'eau.
La rivière dormait. Si peu profonde et si claire qu'on voyait son tapis de galets recouvert de mousse.
Sur l'autre rive, un énorme rocher devant un long bosquet.

Le temps passait et les gamins commençaient à tourner en rond. L'un d'entre eux proposa de traverser la rivière pour explorer l'autre rive.
Les parents, assis ou allongés sur la rive, n'y virent aucun inconvénient. Rivière étroite, eau basse, pas de courant, pas de danger en perspective. Le feu vert fut donc donné.

Tu viens avec nous.
Non ! J'ai pas envie.
Si, tu viens !
Non ! J'ai dit j'ai pas envie !
On y va tous. Tu viens avec nous !

En fait, j'avais la trouille et ne voulais pas le montrer. Et, il me faut bien l'avouer, j'avais aussi et surtout un caractère de cochon.
[Depuis j'ai fait un transfert sur l'agneau. Et maintenant je suis douce comme lui. Comme quoi, on peut changer, j'en suis une preuve vivante.]

Bref, revenons à nos moutons.
J'ai encore refusé mais je me suis retrouvée quand même sur l'autre rive avec eux ...
Allez savoir comment et pourquoi, moi je ne m'en souviens plus.
Seulement, une fois de l'autre côté :
Je ne veux pas aller avec vous.
Tu vas pas rester là toute seule, tu viens.

Non, je reste.
T'es pas marrante. Nous, on y va. Tant pis pour toi.

Je me suis retrouvée toute seule à me demander ce que j'allais bien pouvoir faire. Près de moi cet énorme rocher, qui en fait, était à peine moins haut que moi.
Si je montais dessus.
Et hop, je grimpe. Mais finalement au bout de quelques minutes, l'ennui me gagne.
J'en ai marre. Je repars avec les parents.
Je redescends de mon trône et me voilà partie.
Mais comment j'ai fait pour venir avec les autres ?
Mes pieds glissent sur les cailloux et ça fait mal !

Je suis au milieu. Pas encore tombée. J'ai toujours mal aux pieds.
Aaaaaaaaaaah ! je gliiiiiiisse ! La tasse. Je vais me noyer.
Je n'arrive pas à me relever. J'appelle maman mais j'ai la tête sous l'eau et quand je la sors c'est pour reprendre mon souffle. Encore sous l'eau.
Et ces cailloux, ils ont mis du savon ou quoi ?

Ouf, maman est vigilante. D'un bond elle est dans l'eau. Elle est tout près, mais elle aussi, elle a des cailloux couverts de savon, sous ses pieds.
Pendant ce temps j'ai réussi à me stabiliser mais je ne veux plus bouger. J'attends.
Maman, t'as perdu tes chaussures !
Elle doit avoir mal aux pieds, la pauvre.
Elle me prend dans ses bras.
Je t'avais dis de rester avec les grands !
Maman ma sauveuse, je t'aime.
Pourvu qu'elle ne raconte rien aux autres.

dimanche 11 juillet 2010

Hé, t'as pas 100 balles ?

Bettencourt et ses Euros distribués.
Betancourt et les Dollars réclamés.

A croire que Bettencourt et Betancourt sont synonymes de : Argent, Pognon, Fric, Grisbi, Oseille, Pèze, Pépettes, Thunes, Flouze, Picaillons, Galette, Saint-frusquin, Caillasse, ... et ... l'argent n'a pas d'odeur !

Après l'ancêtre, aujourd'hui c'est Dame Ingrid qui fait parler d'elle ... à nouveau.
Madame joue les outragées. Bogota n'aurait pas assuré sa sécurité.
Et pour la peine, elle réclame un petit dédommagement.
Oh, pas grand chose ! La modique somme de 6.5 millions de dollars.
...
Gravement malade, qu'elle était dans la jungle !
Mourante même.
(De mémoire : Hépatite B et leishmaniose.)

Et trois mois plus tard,
toute fraiche sortie de la jungle !!!!!
En forme, non ? Elle est passée par Lourdes ?


Un communiqué de l'ex-collectif de soutien à Ingrid Betancourt en Belgique précise qu'"Ingrid a annoncé que lorsque la procédure aboutira, la somme proposée par l'Etat sera entièrement destinée à soutenir les autres familles d'otages en Colombie, directement ou au travers de fondations".

Ben voyons !

... Bon, il faut vraiment que j'arrête de lire les actus.

samedi 10 juillet 2010

Non mais, je rêve ...

La première secrétaire du PS Martine Aubry et le président Nicolas Sarkozy arriveraient à égalité en tête des intentions de vote, à 26% chacun, si le premier tour de la présidentielle se déroulait dimanche, selon un sondage Ifop pour Sud Ouest Dimanche.


Je rêve. Je cauchemarde.
Pincez-moi ! Jetez-moi un saut d'eau sur la tête !
Réveillez-moi, par pitié !
Je savais le français râleur, mais abruti à ce point !
Non, non ! Je n'y crois pas.
Il n'y a qu'une seule explication : le sondage est pipé ... pour remonter lui moral, à Sarkosis 1er.
Il a plutôt mauvaise mine en ce moment.


Hé, Majesté, tu veux du Stresam, ou ... du Lexomil ?
J'en ai plein un tiroir.

Prescrits. Pas pris !
Si je peux rendre service ...

mercredi 7 juillet 2010

Où est mon casque ?


Ce soir, c'est décidé, je pars en guerre. Je mets mon armée en marche. Et pas de fleur au bâton.

C'est vrai, quoi ! On est où ? J'ai l'impression d'avoir été télé-transportée dans un autre pays.
Tout va à vau-leau !
Sarkosis 1er et ses sbires s'en donnent à coeur joie !
Et on est là, tous, à ruminer, râler, brailler.

Je sais, c'est bien connu le français est un râleur (et je ne suis pas la dernière) mais c'est tout ce qu'il sait faire, monté sur son ressort mais ... un ressort rouillé.

La France a réellement connu des révolutions ? J'en doute.
Calembredaine, foutaise, fadaise ...
Je crois qu'il va falloir réexaminer les livres d'histoires.

Et un scandale par ci, et un scandale par là ...
Et une mesure par ci, et une mesure par là ...
Et couillons de français que nous sommes, nous marmonnons !

Aux armes, citoyens !


Aidez-moi, j'ai un problème, et même un gros.
En fait je n'ai pas d'armée, je suis toute seule.
Il va me falloir donner des coups de bâtons à tour de bras.

A vos bâtons, citoyens ! A vos bâtons !

mardi 6 juillet 2010

Chatons, chatons

Ce soir, je vais faire les présentations.
Voici les deux derniers nés de la maison.
Commençons par la plus jeune.

Maya, charmante petite chatte de 2 mois 1/2.
Très douce et très câline.



Mademoiselle pose pour les photos.




Et maintenant Filou, à peine plus vieux (une semaine de plus).
Voici la seule photo correcte que j'ai pu prendre.
Ce jeune homme ne tient pas en place.
Il est franc comme un âne qui recule (Il n'en fait qu'à sa tête)
Résultat, j'ai dû prendre une bonne quinzaine de photos avant de réussir celle-ci.
Les autres ne laissent apparaître qu'un nuage blanc !



Mais plus tard, j'ai pu saisir celle-ci.
Plaqué au sol par son grand frère, fini les cavalcades !



Et bien voilà, les présentations sont faites.

lundi 5 juillet 2010

Au palais, ça bouge !


On ne dépense pas impunément l'argent de mon peuple !

Cigares, voyages, hôtel ... et puis quoi encore ?

Whisky et p'tites pépées aussi ?

Mais Majesté ...

Y'a pas de mais ! Oust, dehors !

L'argent du peuple, il sert à quoi ? A payer vos petites fantaisies ?

Et mon train de vie, qui va l'entretenir ?

Et mon A330, et mon petit jet Falcon, je vais les payer avec mon argent de poche peut être.

Dégagez ! Y'a plus rien à voir, à prendre !

J’vais faire du vide, moi, j’vous l'dis !

Non, mais ! Sans blague ! Qui c’est l’patron ?

Mais Majesté ...

Y'a pas de mais, j'vous dis !

J'vais foutre tout le monde dehors et vite fait.

J'vais vous montrer qui c'est l'chef, ici !

Non mais c'est vrai, quoi ! On ne peut plus être maître chez soi.

On veut faire plaisir aux potes, et voilà comment ils vous remercient.

Vous leur donnez un pouce, ils vous arrachent le bras.

samedi 3 juillet 2010

Cuisine en folie !

Hier était donc mon jour de fête, et, pour l'occasion, ma fille a tenu à m'offrir un petit resto.
Je crois que je vais décréter un jour de fête hebdo.

Quel resto !
Cadre très original, accueil super sympa.

Comme je ne suis pas égoïste, je vais vous faire partager nos plaisirs de la soirée.
Pour le vin, vous le choisissez directement à la cave à vin, vous le débouchez, que l'on soit amateur ou connaisseur, ce n'est qu'une histoire de plaisir.
Voici le menu.
Croyez-moi difficile de faire son choix .
(et appréciez le nom de certains plats)




Les Entrées

Une amitié pour la vie : panaché de salade avec son camembert entier rôti sur lit de lardons et pommes fruits

Un mot d'amour : Duo de marinades (saumons frais à l'alcool de poire, Carpaccio de st jacques au pesto et sa salade

Ecoute moi et entend moi : Foie gras de canard frais poêlé au miel de framboises

Le sourire d'un enfant : Panier de crudités selon saison et sa sauce crémeuse

Heureux avec des riens : Brioches de foie gras aux pommes fruits et sa vinaigrette de cidre caramélisée sur lit de salades

Le souvenir d'une histoire : Chiffonnade de cuisses de grenouilles aux herbes fraîches

Le temps de vivre : Feuilleté de brie de maux aux petits légumes, coeur d'artichaut au cabécou

Ma main à besoin de ta main : Salade de Tastou de saumon fumé à la confiture d'oignons et son cocktail de fruits de mer

Les viandes

Cassolette de souris d'agneau confite au foin !

Magret d'oie plus de 300grs au fois gras frais flambé à l'armagnac

Entrecôte de boeuf (Simmental de de 280 à 300 grs)
sauce au bleu et sa glace au roquefort

Sucette de gésiers d'oie au caramel créùeux et Romarin

Curry de dindonneau au lait de coco et cacahuètes

Demander la suggestion de Nicolas (dit le singe)

Les poissons

Terre mer : Noix de saint Jacques et magret sauce aux cèpes

Dorade entière à la plancha aux herbes fraîches (600,800grs)

Parrillade de poissons à la Plancha : Gambas, lotte, st jacques, rouget, saumon avec sauce au safran et sa glace au safran

Homard au beurre d'écrevisses : Tagliatelles fraîches

Filet de perroquet à la compression d'agrumes et ses légumes de saisons

Camerin 2 pièces (grosse gambas) en croûte de sel

Les desserts

Une pointe de terroir : Assiette de trois fromages et sa confiture

Bouse de vache : Grosse profiterol au chocolat

L'enfance retrouvée : Pain perdu à la crème de caramel et sa glace caramel fleur de sel

Ail! Ail! Ail ! : fondue au chocolat avec ses fruits de saison

L'humeur du singe : Pâtisserie du soir de Nicolas

La rabougne : Tatin d'ananas façon crumble

Tout simplement : Gratin de fruits de saison au sabayon

L'île des anges : L'artisan du sorbet (framboise, passion, poire)

Vivre dangereusement : Décalé à la noisette et chocolat

La folie des grandeurs : Assortiment de cinq petits desserts avec le café


vendredi 2 juillet 2010

Mais on est le 2 juillet ?!!!...

Et oui, j'ai un an de plus que l'an dernier mais ... un de moins que l'an prochain.
Mais quel est le nombre d'années ? Ma mémoire défaille.
Je vous voir venir. Vous vous dites : "Oh elle ne doit plus être de toute première jeunesse".
Soyez courtois !

Mon souci est que je dois faire un peu de calcul mental.
Je pose un, je retiens deux. Non ce n'est pas ça.
Bon, plus simple, j'ai cinq ans de moins que ma soeur.
Donc ...
Elle a quel âge ma soeur ?
En résumé je reprendrai cette citation :
Impossible de vous dire mon âge, il change tout le temps !

Et puis quelle importance ! Après tout, on a l'âge qu'on a.
Et pour moi, si on a l'âge de ses artères, on a surtout surtout celui qu'on veut avoir.
Aujourd'hui je ne retiendrai donc qu'une chose : c'est ma fête !