Tout va tout va, tout va bien !
Et d'un : toujours pas de job, toujours rien en vue ! Pas une touche.
Et de deux : la télé qui s'est mise à faire des siennes. L'image qui rétrécit. Les lilliputiens deviennent géants, les rondelés bien effilés.
Entre 2 et 300 euros de réparation.
Désolée, tu me coûtes trop cher pour ton âge. J'ai décidé, je me sépare de toi.
Et de trois : la voiture qui fait des caprices. Elle avance, elle n'avance plus, elle avance, elle n'avance plus ... Je craignais que ce ne soit la pompe, ou les injecteurs. En fait, il s'agirait d'une vanne qui sert à je ne sais plus quoi. Demain, elle part au garage. Mais elle m'en coûtera quand même aux alentours de 300 euros. Cette foutue vanne vaut la peau des fesses (de qui ?).
On dit "un malheur ne vient jamais seul".
Moi je dirais un problème ne vient jamais seul. Mais, bon, le résultat est le même.
Jamais deux sans trois ! J'ai les trois.
Ne me dites qu'il y a aussi un "jamais trois sans quatre" !
Quoique, avec les impôts que les sbires de sa majesté n'ont pas manqué de me réclamer, j'ai les quatre.
2009, année plus que merdique. 2010 , bof, guère mieux.
Que me faut-il attendre de 2011 ?
Deux ans ! Ah, non ! Pas deux sans trois !
"N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... et tu seras heureux"
Citation du jour
"Faites confiance à votre instinct. Il vaut mieux que les erreurs soient les vôtres, plutôt que celles de quelqu'un d'autre." Billy Wilder .
jeudi 30 septembre 2010
dimanche 26 septembre 2010
Dactylos, au boulot ! J'attends ...
Il est bien loin de temps de la machine à écrire dans laquelle il fallait glisser une liasse de feuilles papier et carbone.
La manoeuvre était périlleuse : une faute de frappe et il fallait user du ruban effaceur, quand la machine en disposait, ou de l'effaceur liquide blanc. Maudit produit : parfois trop liquide, parfois trop pâteux (je me souviens aussi de petites languettes poudrées qui recouvraient les fautes à la refrappe, ...).
Mais si, dans la précipitation, un mot était oublié, alors tout était à refaire.
Et si tu devais adresser des courriers identiques à plusieurs personnes, l'exercice devait être renouvelé autant de fois que de destinataires.
Si tu ne te rendais pas régulièrement au lavabo, tu finissais ta journée les doigts noircis par le carbone, avec ça et là des petites taches blanches provenant de l'effaceur liquide.
Aujourd'hui, le travail de la dactylo a bien changé. Correction automatique, texte en mémoire, lettre type, etc ... Deux temps, trois mouvements, le courrier est fait.La manoeuvre était périlleuse : une faute de frappe et il fallait user du ruban effaceur, quand la machine en disposait, ou de l'effaceur liquide blanc. Maudit produit : parfois trop liquide, parfois trop pâteux (je me souviens aussi de petites languettes poudrées qui recouvraient les fautes à la refrappe, ...).
Mais si, dans la précipitation, un mot était oublié, alors tout était à refaire.
Et si tu devais adresser des courriers identiques à plusieurs personnes, l'exercice devait être renouvelé autant de fois que de destinataires.
Si tu ne te rendais pas régulièrement au lavabo, tu finissais ta journée les doigts noircis par le carbone, avec ça et là des petites taches blanches provenant de l'effaceur liquide.
Et le mail ! Pas de blabla. Pas de formalisme.
Mais voilà, bien que ce travail soit très considérablement facilité, beaucoup ne prennent pas pour autant la peine de donner suite à tes courriers.
J'en veux pour preuve les nombreux mails que j'ai envoyés ces dernières semaines dans le cadre de ma recherche d'emploi. Seule une entreprise a pris quelques secondes pour me répondre. Par un courrier type, certes, mais l'a fait et je lui en suis bien reconnaissante. Même si sa réponse est négative, au moins, je sais à quoi m'en tenir.
Bon ! puisque c'est comme ça, et qu'il n'en sera pas autrement, me semble-t-il, je vais changer de méthode. J'irai frapper à leur porte. Na !
vendredi 17 septembre 2010
Halte aux envahisseurs !
J'en ai marre. Marre de tout ce tintamarre autour des Roms. Pardon, ... de l'évacuation des camps illicites.
A croire que notre chère France ne vit que ce problème, si problème il y a.
N'y en a-il pas un autre bien plus grave ? Peu-être même plus grave que la crise.
Mais quand aurons-nous des politiques couillus ?
Il est fort probable que l'on m'accuse de tenir des propos racistes, sectaires ou je ne sais quoi. Pourtant, je ne suis qu'une française qui ne reconnait plus son pays.
Notre chère France est envahie.
Envahie de créatures enveloppées des pieds à la tête, de plus en plus en noir.
Envahie d'individus nous imposant leur culture, leur religion.
Envahie de barbus.
Envahie de tous ces culs en l'air sur les trottoirs et dans les rues, ces culs qui prennent bien soin de fermer nos rues à l'aide de barrières afin que rien ne vienne perturber leur prière. Fouteurs de troubles sur la voie publique ? Ben voyons, bien sûr que non !
Envahie d'individus irrespectueux envers notre drapeau, notre civilisation et qui pourtant profitent au maximum de nos droits sociaux, de nos soins, etc.
Envahie toujours de ces mêmes individus qui nous traitent de sous-merdes.
J'en ai marre.
J'en ai marre.
Marre de ne trouver que de la bouffe hala dans les rayons de nos magasins.
Marre de n'entendre parler qu'arabe dans les rues de nos villes.
J'en ai marre !
Marre d'entendre ces français nous rabâcher "la France est le pays des droits de l'homme, la France est une terre d'accueil, la France doit être tolérante et recevoir tout le monde les bras grands ouverts et sans condition".
Notre coq a de quoi ne plus savoir sur quel pied danser !
La France n'a plus d'identité !
Demain, comment serons-nous vêtues, nous les femmes ?
Demain, messieurs, aurez-vous le choix entre aller boire une bière avec un pote au bistrot du coin, ou encore supporter votre équipe au stade, ET aller prendre la pose du cul en l'air pour la prière ?
Demain, pourrons-nous déguster nos plats bien de chez nous ? Potée auvergnate, petit salé aux lentilles, rillettes, andouille de Vire ... ou devrons-nous bouffer halal ?
J'en ai marre !
Marre de ces politiciens sans couilles qui laissent notre pays se faire envahir d'une idéologie dangereuse, l'islam radical !
Qu'ils soient de droite, qu'ils soient de gauche, ils se taisent.
Qu'ils sortent de leurs quartiers chics, de leur résidence secondaire.
Qu'ils jalonnent les quartiers moins chics, qu'ils fréquent les transports en commun, qu'ils se mélangent au peuple !
Quoique ... à quoi bon ! Nos politiciens sont des eunuques. Il ne faut surtout pas froisser nos envahisseurs par peur de représailles.
Alors musulmans radicaux, extrémistes, intégristes ... persistez. Tenez bon. Endoctrinez les jeunes. La France vous donne carte blanche. Oui, demain vous serez les Maîtres du Monde.
Je terminerai par ce petit fait divers, très insignifiant :
Un piéton français se fait bousculer par un véhicule conduit par un individu d'origine arabe qui prend la fuite. Le français, qui a eu le temps de relever le numéro de la plaque, porte plainte. Mais le conducteur indélicat porte plainte à son tour pour injure raciale : le français l'aurait traité de sale arabe. Pas de témoin. La parole du français est mise en doute, et, au final, le français se retrouve dans la merde.
La morale de cette histoire est que s'il vous venait à l'idée d'injurier un arabe, faites-le devant témoins, et choisissez les mots : sale con, pauvre merde, connard, enfoiré, ... mais surtout aucune allusion à ses origines.
A croire que notre chère France ne vit que ce problème, si problème il y a.
N'y en a-il pas un autre bien plus grave ? Peu-être même plus grave que la crise.
Mais quand aurons-nous des politiques couillus ?
Il est fort probable que l'on m'accuse de tenir des propos racistes, sectaires ou je ne sais quoi. Pourtant, je ne suis qu'une française qui ne reconnait plus son pays.
Notre chère France est envahie.
Envahie de créatures enveloppées des pieds à la tête, de plus en plus en noir.
Envahie d'individus nous imposant leur culture, leur religion.
Envahie de barbus.
Envahie de tous ces culs en l'air sur les trottoirs et dans les rues, ces culs qui prennent bien soin de fermer nos rues à l'aide de barrières afin que rien ne vienne perturber leur prière. Fouteurs de troubles sur la voie publique ? Ben voyons, bien sûr que non !
Envahie d'individus irrespectueux envers notre drapeau, notre civilisation et qui pourtant profitent au maximum de nos droits sociaux, de nos soins, etc.
Envahie toujours de ces mêmes individus qui nous traitent de sous-merdes.
J'en ai marre.
J'en ai marre.
Marre de ne trouver que de la bouffe hala dans les rayons de nos magasins.
Marre de n'entendre parler qu'arabe dans les rues de nos villes.
J'en ai marre !
Marre d'entendre ces français nous rabâcher "la France est le pays des droits de l'homme, la France est une terre d'accueil, la France doit être tolérante et recevoir tout le monde les bras grands ouverts et sans condition".
Notre coq a de quoi ne plus savoir sur quel pied danser !
La France n'a plus d'identité !
Demain, comment serons-nous vêtues, nous les femmes ?
Demain, messieurs, aurez-vous le choix entre aller boire une bière avec un pote au bistrot du coin, ou encore supporter votre équipe au stade, ET aller prendre la pose du cul en l'air pour la prière ?
Demain, pourrons-nous déguster nos plats bien de chez nous ? Potée auvergnate, petit salé aux lentilles, rillettes, andouille de Vire ... ou devrons-nous bouffer halal ?
J'en ai marre !
Marre de ces politiciens sans couilles qui laissent notre pays se faire envahir d'une idéologie dangereuse, l'islam radical !
Qu'ils soient de droite, qu'ils soient de gauche, ils se taisent.
Qu'ils sortent de leurs quartiers chics, de leur résidence secondaire.
Qu'ils jalonnent les quartiers moins chics, qu'ils fréquent les transports en commun, qu'ils se mélangent au peuple !
Quoique ... à quoi bon ! Nos politiciens sont des eunuques. Il ne faut surtout pas froisser nos envahisseurs par peur de représailles.
Alors musulmans radicaux, extrémistes, intégristes ... persistez. Tenez bon. Endoctrinez les jeunes. La France vous donne carte blanche. Oui, demain vous serez les Maîtres du Monde.
Je terminerai par ce petit fait divers, très insignifiant :
Un piéton français se fait bousculer par un véhicule conduit par un individu d'origine arabe qui prend la fuite. Le français, qui a eu le temps de relever le numéro de la plaque, porte plainte. Mais le conducteur indélicat porte plainte à son tour pour injure raciale : le français l'aurait traité de sale arabe. Pas de témoin. La parole du français est mise en doute, et, au final, le français se retrouve dans la merde.
La morale de cette histoire est que s'il vous venait à l'idée d'injurier un arabe, faites-le devant témoins, et choisissez les mots : sale con, pauvre merde, connard, enfoiré, ... mais surtout aucune allusion à ses origines.
lundi 13 septembre 2010
Mais que faire ?
Très occupée que je suis en ce moment.
Ma formation touche à sa fin. S'en suivra le stage.
D'ici novembre il me faut un job !
Alors je passe la plupart de mon temps libre à la recherche d'annonces. Mais rien à l'horizon, si ce n'est des emplois au smic à 50kms, avec en prime anglais courant, ce qui est loin d'être mon cas. Je ne sais pas pourquoi mais cette langue et moi n'avons jamais fait bon ménage.
Je me rabats donc sur les candidatures spontanées. Gros casse-tête. Il faut cibler les entreprises. Alors je surfe sur le net.
Je sélectionne. Puis de site en site, je cherche des infos mais pour avoir des infos, mieux vaut s'armer de patience. Car sur un site vous trouvez ce que vous cherchez, sur l'autre vous apprenez que la boite est en liquidation ou radiée purement et simplement. C'est effarant le nombre de sociétés qui ont fermé.
En plus, il me faut aussi tenir un tableau à jour. Il ne manquerait plus que j'envoie deux fois mon CV dans la même boite ...
- Faites marcher le réseau.
Ah ça le réseau je lui casse les oreilles. Je n'arrête pas.
- Et oh, toujours sans boulot. Si tu connais quelqu'un qui cherche une assistante, pense à moi.
- Dis, tu ne connais personne dans le bâtiment, une boite sérieuse dans laquelle je pourrais postuler ?
- Ou autre chose, parce que j'ai bien l'impression que le bâtiment en ce moment ... A moins de me présenter la truelle en main, le bâtiment n'a pas besoin d'assistantes dévouées (contrairement à ce que nous rabâche la formatrice !)
Vivement la retraite. Seulement, je n'y suis pas encore.
Peut être me faut-il changer d'orientation.
Devenir maçon, peintre, électricien ?
Ou tout simplement technicienne de surface. Technicienne de surface, ça sonne bien, non ? Oui mais moi le ménage, c'est pas mon truc. Rien que chez moi, je ne supporte pas d'endosser l'uniforme de Conchita.
Bon, je dois y aller. Aujourd'hui, et toute la semaine d'ailleurs, "création de site internet".
Ma formation touche à sa fin. S'en suivra le stage.
D'ici novembre il me faut un job !
Alors je passe la plupart de mon temps libre à la recherche d'annonces. Mais rien à l'horizon, si ce n'est des emplois au smic à 50kms, avec en prime anglais courant, ce qui est loin d'être mon cas. Je ne sais pas pourquoi mais cette langue et moi n'avons jamais fait bon ménage.
Je me rabats donc sur les candidatures spontanées. Gros casse-tête. Il faut cibler les entreprises. Alors je surfe sur le net.
Je sélectionne. Puis de site en site, je cherche des infos mais pour avoir des infos, mieux vaut s'armer de patience. Car sur un site vous trouvez ce que vous cherchez, sur l'autre vous apprenez que la boite est en liquidation ou radiée purement et simplement. C'est effarant le nombre de sociétés qui ont fermé.
En plus, il me faut aussi tenir un tableau à jour. Il ne manquerait plus que j'envoie deux fois mon CV dans la même boite ...
- Faites marcher le réseau.
Ah ça le réseau je lui casse les oreilles. Je n'arrête pas.
- Et oh, toujours sans boulot. Si tu connais quelqu'un qui cherche une assistante, pense à moi.
- Dis, tu ne connais personne dans le bâtiment, une boite sérieuse dans laquelle je pourrais postuler ?
- Ou autre chose, parce que j'ai bien l'impression que le bâtiment en ce moment ... A moins de me présenter la truelle en main, le bâtiment n'a pas besoin d'assistantes dévouées (contrairement à ce que nous rabâche la formatrice !)
Vivement la retraite. Seulement, je n'y suis pas encore.
Peut être me faut-il changer d'orientation.
Devenir maçon, peintre, électricien ?
Ou tout simplement technicienne de surface. Technicienne de surface, ça sonne bien, non ? Oui mais moi le ménage, c'est pas mon truc. Rien que chez moi, je ne supporte pas d'endosser l'uniforme de Conchita.
Bon, je dois y aller. Aujourd'hui, et toute la semaine d'ailleurs, "création de site internet".
mardi 7 septembre 2010
L'anecdote du jour
Manfred décide de bricoler dans le jardin, mais il doit se changer, il n'a pas la tenue appropriée.
Il échange le polo pour le débardeur. Retire les chaussures, les chaussettes, le pantalon, enfile le bermuda.
Ah ben ça alors !
Qu'est-ce qu'il y a ?
Elle est bonne celle-la !
Et bien quoi ?
Je viens d'enlever mes chaussettes, et je n'en ai plus qu'une.
Je jette furtivement un oeil sur ses pieds, déjà prête à lui dire sur un ton moqueur :
Normal, tu n'en as enlevé qu'une.
Seulement, il a les pieds nus.
Nous voilà tous les deux à chercher partout. La salle de bains n'étant pas un palace, elle ne doit pas être bien loin cette maudite chaussette. Et là? je vois Manfred tenter la pose quatre pattes pour voir si par hasard elle ne se serait pas faufilée sous le meuble. Mais le quatre pattes n'est pas facile avec un genou qui se plie bien moins qu'il ne le devrait. Donc je m'y mets aussi.
Tous les deux le cul en l'air. Mais toujours pas de chaussette.
Nous nous retrouvons plantés là avec de grands points d'interrogation dans le regard. ... Et le fou rire nous prend.
Allez, laisse tomber. Une chaussette de perdue ... une chaussette de perdue.
Mais Manfred n'est pas d'accord.
J'en avais deux. Elle ne s'est pas volatilisée.
A moins que Kooki le chat l'ait chapardée. Mais non, depuis son petit déjeuner, il dort confortablement sur le fauteuil.
Alors ? Où est-elle ? Mais où est-elle ?
Moi, j'abandonne. Après tout, cette chaussette, elle n'a pas d'âme à sauver comme dirait Mamie.
Non mais, quel couillon !
Pourquoi ?
Regarde !
Elle était où ?
Dans mon bermuda, derrière au niveau du dos.
Et comment ?
J'aimerais bien le savoir !
Il regardait devant, elle était derrière.
Ah, nous pouvions la chercher.
Il échange le polo pour le débardeur. Retire les chaussures, les chaussettes, le pantalon, enfile le bermuda.
Ah ben ça alors !
Qu'est-ce qu'il y a ?
Elle est bonne celle-la !
Et bien quoi ?
Je viens d'enlever mes chaussettes, et je n'en ai plus qu'une.
Je jette furtivement un oeil sur ses pieds, déjà prête à lui dire sur un ton moqueur :
Normal, tu n'en as enlevé qu'une.
Seulement, il a les pieds nus.
Nous voilà tous les deux à chercher partout. La salle de bains n'étant pas un palace, elle ne doit pas être bien loin cette maudite chaussette. Et là? je vois Manfred tenter la pose quatre pattes pour voir si par hasard elle ne se serait pas faufilée sous le meuble. Mais le quatre pattes n'est pas facile avec un genou qui se plie bien moins qu'il ne le devrait. Donc je m'y mets aussi.
Tous les deux le cul en l'air. Mais toujours pas de chaussette.
Nous nous retrouvons plantés là avec de grands points d'interrogation dans le regard. ... Et le fou rire nous prend.
Allez, laisse tomber. Une chaussette de perdue ... une chaussette de perdue.
Mais Manfred n'est pas d'accord.
J'en avais deux. Elle ne s'est pas volatilisée.
A moins que Kooki le chat l'ait chapardée. Mais non, depuis son petit déjeuner, il dort confortablement sur le fauteuil.
Alors ? Où est-elle ? Mais où est-elle ?
Moi, j'abandonne. Après tout, cette chaussette, elle n'a pas d'âme à sauver comme dirait Mamie.
Non mais, quel couillon !
Pourquoi ?
Regarde !
Elle était où ?
Dans mon bermuda, derrière au niveau du dos.
Et comment ?
J'aimerais bien le savoir !
Il regardait devant, elle était derrière.
Ah, nous pouvions la chercher.
jeudi 2 septembre 2010
Quick ? Couic ?
Quick ouvre 14 nouveaux restos uniquement halal.
Les premiers auraient connu une progression des ventes de 100% et doublé la fréquentation.
Des sous, des sous ...
Mais qu'est-ce que j'apprends ? Que cette chaine de restos appartient à la Caisse des Dépôts et Consignations, institution financière publique placée sous l'autorité du Parlement et donc ... du Gouvernement !
Et quand on fouille un peu plus, on apprend également que la chaine a été achetée au-dessus de sa valeur à un belge associé à un grand pote de Sa Majesté Sarkosis.
Elle est pas belle la vie ?
Tout ça a si peu d'importance que personne n'en parle. C'est vrai qu'entre potes, il faut bien s'entraider. Si on ne peut plus compter sur les copains ... où va-t-on ?
Maintenant les restos uniquement halal ! Et demain ? Oui, demain.J'imagine.
... Moi qui supporte difficilement la chaleur, je me vois mal coiffée de ce fameux voile. Quant à Manfred, pas bon dieu pour deux sous, je l'imagine, le cul en l'air, devoir faire la prière.
Aaaah, et les joies du ramadan, et ... et tout le reste.
Pauvre France !
Bon, il va falloir que je fasse le plein d'oranges, car si je continue, ce n'est pas un stage en entreprise que vais devoir faire, mais un derrière les barreaux.
Car, si sa Majesté a le droit de me traiter de pauvre conne, moi j'ai plutôt intérêt à peser mes paroles.
Vite, trouvez-moi un pèse-mots !
Les premiers auraient connu une progression des ventes de 100% et doublé la fréquentation.
Des sous, des sous ...
Mais qu'est-ce que j'apprends ? Que cette chaine de restos appartient à la Caisse des Dépôts et Consignations, institution financière publique placée sous l'autorité du Parlement et donc ... du Gouvernement !
Et quand on fouille un peu plus, on apprend également que la chaine a été achetée au-dessus de sa valeur à un belge associé à un grand pote de Sa Majesté Sarkosis.
Elle est pas belle la vie ?
Tout ça a si peu d'importance que personne n'en parle. C'est vrai qu'entre potes, il faut bien s'entraider. Si on ne peut plus compter sur les copains ... où va-t-on ?
Maintenant les restos uniquement halal ! Et demain ? Oui, demain.J'imagine.
... Moi qui supporte difficilement la chaleur, je me vois mal coiffée de ce fameux voile. Quant à Manfred, pas bon dieu pour deux sous, je l'imagine, le cul en l'air, devoir faire la prière.
Aaaah, et les joies du ramadan, et ... et tout le reste.
Pauvre France !
Bon, il va falloir que je fasse le plein d'oranges, car si je continue, ce n'est pas un stage en entreprise que vais devoir faire, mais un derrière les barreaux.
Car, si sa Majesté a le droit de me traiter de pauvre conne, moi j'ai plutôt intérêt à peser mes paroles.
Vite, trouvez-moi un pèse-mots !
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