"Des parents qui battent ont souvent été des enfants battus. Eduquons sans violence. Ni claques, ni fessées". Message de la Fondation pour l'Enfance.
Vous verrez, ils vont bien finir par nous pondre une loi interdisant aux parents de lever le petit doigt sur leurs gosses.
Même certains parents en rajoutent. J'ai lu récemment le commentaire de l'un d'entre eux qui disait que "les parents devaient le respect à leurs enfants et non pas le contraire, sous prétexte que ces derniers n'avaient pas demandé à venir au monde. Pour cette raison, on ne devait pas les toucher". Après ça, on s'étonne du comportement de certains mouflets.
En ce qui me concerne, j'étais plutôt une gamine espiègle et quelques fessées reçues pour me redéfinir les barrières que je ne devais pas sauter ne m'ont aucunement traumatisée. Bien au contraire. Je n'ai jamais eu le sentiment d'être battue ou maltraitée. Combien de ma génération ont reçu ce type de correction ? Sont-ils pour autant des bourreaux aujourd'hui ? Je suis convaincue que l'autorité doit en passer par là si c'est nécessaire.
Avec ma fille, qui avait un caractère bien trempé, tout en étant peut être plus cool que mes parents, j'ai agi de même. "Premier avertissement .... Deuxième avertissement ... . Au troisième c'est la fessée". La première fois, elle n'avait pas compris ou pas voulu comprendre et la fessée, elle l'a reçue. Par la suite, il me suffisait de lui dire "Attention, premier avertissement ..." et tout rentrait dans l'ordre car elle savait que la punition pouvait tomber et qu'il fallait respecter les règles.
Je ne dis pas pour autant qu'il faut frapper nos chérubins à tout va. Il faut se poser aussi ses propres limites et agir à bon escient et non pas pour tout et n'importe quoi. Une fessée est une punition, elle n'est pas gratuite, elle n'est pas donnée pour se défouler.
Il faut arrêter de faire l'amalgame avec un enfant battu, ce qui est là un tout autre sujet.
Légiférer contre la fessée, c'est, à mon avis, diminuer voire même supprimer l'autorité des parents envers leurs enfants. Légiférer contre la fessée, c'est culpabiliser les parents. Légiférer contre la fessée, c'est supprimer les limites, ôter les barrières, tout permettre à nos chères petites têtes.
Laissons faire et demain, une loi pour punir le petit de maternel qui tirera les cheveux ou donnera une gifle à sa petite copine qui lui aura piquer son ballon ? Je m'égare, me direz vous. Peut être pas.
Vous verrez, ils vont bien finir par nous pondre une loi interdisant aux parents de lever le petit doigt sur leurs gosses.
Même certains parents en rajoutent. J'ai lu récemment le commentaire de l'un d'entre eux qui disait que "les parents devaient le respect à leurs enfants et non pas le contraire, sous prétexte que ces derniers n'avaient pas demandé à venir au monde. Pour cette raison, on ne devait pas les toucher". Après ça, on s'étonne du comportement de certains mouflets.
En ce qui me concerne, j'étais plutôt une gamine espiègle et quelques fessées reçues pour me redéfinir les barrières que je ne devais pas sauter ne m'ont aucunement traumatisée. Bien au contraire. Je n'ai jamais eu le sentiment d'être battue ou maltraitée. Combien de ma génération ont reçu ce type de correction ? Sont-ils pour autant des bourreaux aujourd'hui ? Je suis convaincue que l'autorité doit en passer par là si c'est nécessaire.
Avec ma fille, qui avait un caractère bien trempé, tout en étant peut être plus cool que mes parents, j'ai agi de même. "Premier avertissement .... Deuxième avertissement ... . Au troisième c'est la fessée". La première fois, elle n'avait pas compris ou pas voulu comprendre et la fessée, elle l'a reçue. Par la suite, il me suffisait de lui dire "Attention, premier avertissement ..." et tout rentrait dans l'ordre car elle savait que la punition pouvait tomber et qu'il fallait respecter les règles.
Je ne dis pas pour autant qu'il faut frapper nos chérubins à tout va. Il faut se poser aussi ses propres limites et agir à bon escient et non pas pour tout et n'importe quoi. Une fessée est une punition, elle n'est pas gratuite, elle n'est pas donnée pour se défouler.
Il faut arrêter de faire l'amalgame avec un enfant battu, ce qui est là un tout autre sujet.
Légiférer contre la fessée, c'est, à mon avis, diminuer voire même supprimer l'autorité des parents envers leurs enfants. Légiférer contre la fessée, c'est culpabiliser les parents. Légiférer contre la fessée, c'est supprimer les limites, ôter les barrières, tout permettre à nos chères petites têtes.
Laissons faire et demain, une loi pour punir le petit de maternel qui tirera les cheveux ou donnera une gifle à sa petite copine qui lui aura piquer son ballon ? Je m'égare, me direz vous. Peut être pas.