S'il fallait en faire un film, je souhaiterais bon courage au scénariste. Aberration, drame, burlesque, cocasse, harcèlement, flicage, ... j'en passe et des pires !
Etant moi-même assise sur le bord du trottoir les pieds dans le caniveau, je pourrais écrire le scénario. Mais inutile d'insister, d'implorer, me supplier, je ne cèderai pas.
Et si film il devait y avoir, malgré moi, je ne parcourrai pas les salles obscures pour en voir la projection.
Toujours est-il que, depuis tout ce temps, j'ai abandonné le trottoir et suis rentrée chez moi.
Mais, aujourd'hui, l'anxiété me gagne.
En effet, dans huit jours, je commence une formation de 5 mois, formation très intéressante qui ne peut que me rendre confiante pour l'avenir.
Mais, imaginez le changement de rythme.
Je suis passée de :
Réveil. Debout. Pipi du matin. Café ... trop chaud. Vite salle de bain. Retour café. Voiture direction boulot. 8H02 téléphone, déjà, même pas le temps de mettre le PC en route. Travail de 3 jours à faire en 8 heures (et puis quoi encore ? Ben si, pas le choix). Stress. Chef agressif. Etc, etc, etc, ...
à : Plus de réveil. Debout. Pipi du matin (pas de changement). Café (toujours trop chaud ... mais j'ai tout mon temps). Lecture des mails. 9H ? ah je vais peut être passer par la salle de bains, m'habiller, ... Bon quel programme aujourd'hui ? Ménage, jardinage, lecture, ballade, farniente, ... ?
J'hésite ! ...
La vie relax, tout simplement.
Et lundi, ce sera : Debout 6H, (je passe sur le p'tit pissou, le café, la salle de bains, ...). Voiture. La joie des embouteillages. Journée formation. Retour. Rejoie embouteillages. Arrivée à ... en fait je ne sais pas quelle heure.
Enfin, bref, partie du stress, passant par le cool, j'arrive au speed.
Dur dur.
Je sais, vous vous dîtes "de quoi elle se plaint celle-la, c'est le lot de chacun, voire pire pour beaucoup !".
Peut-être. Certainement même ! Loin de moi l'idée de vous contredire.
Mais, moi, je m'y étais habituée à cette petite vie SANS obligations.
Etant moi-même assise sur le bord du trottoir les pieds dans le caniveau, je pourrais écrire le scénario. Mais inutile d'insister, d'implorer, me supplier, je ne cèderai pas.
Et si film il devait y avoir, malgré moi, je ne parcourrai pas les salles obscures pour en voir la projection.
Toujours est-il que, depuis tout ce temps, j'ai abandonné le trottoir et suis rentrée chez moi.
Mais, aujourd'hui, l'anxiété me gagne.
En effet, dans huit jours, je commence une formation de 5 mois, formation très intéressante qui ne peut que me rendre confiante pour l'avenir.
Mais, imaginez le changement de rythme.
Je suis passée de :
Réveil. Debout. Pipi du matin. Café ... trop chaud. Vite salle de bain. Retour café. Voiture direction boulot. 8H02 téléphone, déjà, même pas le temps de mettre le PC en route. Travail de 3 jours à faire en 8 heures (et puis quoi encore ? Ben si, pas le choix). Stress. Chef agressif. Etc, etc, etc, ...
à : Plus de réveil. Debout. Pipi du matin (pas de changement). Café (toujours trop chaud ... mais j'ai tout mon temps). Lecture des mails. 9H ? ah je vais peut être passer par la salle de bains, m'habiller, ... Bon quel programme aujourd'hui ? Ménage, jardinage, lecture, ballade, farniente, ... ?
J'hésite ! ...
La vie relax, tout simplement.
Et lundi, ce sera : Debout 6H, (je passe sur le p'tit pissou, le café, la salle de bains, ...). Voiture. La joie des embouteillages. Journée formation. Retour. Rejoie embouteillages. Arrivée à ... en fait je ne sais pas quelle heure.
Enfin, bref, partie du stress, passant par le cool, j'arrive au speed.
Dur dur.
Je sais, vous vous dîtes "de quoi elle se plaint celle-la, c'est le lot de chacun, voire pire pour beaucoup !".
Peut-être. Certainement même ! Loin de moi l'idée de vous contredire.
Mais, moi, je m'y étais habituée à cette petite vie SANS obligations.
Reprendre la cadence.
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